Les instruments de contrôle dans l’entreprise : définition et explication

Publié le : 15 juin 20213 mins de lecture

Les sources d’erreur dans les rouages d’une entreprise peuvent entraîner des dommages élevés.

La tâche du contrôle consiste à vérifier les processus de travail réalisés sur la base des décisions et des plans avec l’aide de l’organisation pour voir s’ils correspondent aux résultats souhaités. Concrètement, il s’agit de comparer les valeurs prévues avec les valeurs réelles atteintes.

Les instruments de contrôle

En interne, on travaille principalement avec des comparaisons objectif/réel dans lesquelles les chiffres prévus sont comparés aux chiffres réels. Le contrôle n’est efficace que lorsque les déviations identifiées sont analysées pour en déterminer les causes. Les déviations peuvent avoir de nombreuses causes : erreur humaine, matériel défectueux, ressources matérielles défectueuses ou incorrectes et erreurs dans l’organisation.

Les grandes entreprises mettent généralement en place un service de contrôle de gestion, qui se préoccupe constamment de comparer les résultats des événements opérationnels aux valeurs prévues afin d’en tirer des conclusions pour l’avenir. Dans ce sens, le contrôle de gestion a davantage pour tâche de gérer l’opération.

Service d’audit

Une autre possibilité, souvent utilisée, est un service d’audit, qui a pour mission de vérifier le respect des règlements de l’entreprise, des instructions internes et d’autres règles. Les banques, en particulier, disposent de cet instrument de contrôle interne.

La plupart des entreprises sont obligées de faire effectuer des contrôles par des auditeurs externes en vertu de la loi sur les directives comptables. Les auditeurs sont des experts qui vérifient que la comptabilité et le bilan sont conformes à la réglementation en vigueur.

La plupart des contrôles dans le processus de travail quotidien ont lieu dans le cadre de la relation employé-superviseur. Le supérieur hiérarchique doit contrôler l’accomplissement des activités de ses employés dans le cadre de sa tâche de gestion. Des tensions peuvent apparaître en raison de la méfiance.

Autocontrôle

L’expression « la confiance, c’est bien, le contrôle, c’est mieux » est justifiée, mais elle ne doit pas donner à chaque employé le sentiment d’être constamment surveillé. Les managers coopératifs délèguent donc une partie du contrôle aux employés dans le sens de l’autocontrôle, par exemple par le biais de listes de contrôle ou d’horaires. Dans le cadre d’une coopération basée sur la confiance, cela inclut des entretiens d’évaluation réguliers.

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